R&D, avenir de l’automobile
Afficher l'article en plein écranLa R&D reste un point fort de la filière automobile en France. Syndex qui a travaillé en 2014 sur un large panel d’acteurs de cette activité propose aux élus de CE, CCE et comités de groupe une synthèse des atouts et risques observés, et quelques recommandations.
Dans un secteur industriel qui a connu en France une baisse considérable de production et de nombreuses pertes d’emplois dans les années 2000, l’activité de R&D doit rester un point d’ancrage fort de la filière dans notre pays. Le pôle Filière automobile Syndex a travaillé en 2014 sur les deux principaux constructeurs français de véhicules légers, les constructeurs de véhicules industriels et vingt équipementiers de tailles variées ayant une activité R&D.
Le quatre-pages « Spécial R&D », à lire ci-contre, passe en revue les problématiques de fond observées dans ce panel représentant deux tiers des emplois de R&D de l’industrie automobile française :
- De quoi parle-t-on ? (périmètre et positionnement des activités R&D)
- Que représente la R&D automobile en emploi et comment cela évolue ?
- Quels liens entretiennent le monde de la R&D et celui de la production ?
- Comment appréhender le coût de la R&D, quand elle est rattrapée par une logique gestionnaire ?
- La politique d’innovation dans la filière est-elle suffisamment ambitieuse ?
Avec cette synthèse claire, le pôle Filière automobile Syndex invite les élus de CE, CCE et comités de groupe du secteur à s’intéresser « en avance de phase » à cette activité qui conditionne l’avenir industriel de la filière, plutôt que d’avoir à déplorer les restructurations. Et à compléter leur information avec l’aide de leurs experts en interrogeant leurs directions.